Fantastic Beasts : The Crimes of Grindelwald

Sorti il y a tout juste deux ans, Fantastic Beasts and Where to Find Them avait été une agréable surprise. A la fois spin-off et prequel, le film relançait l’univers Harry Potter en nous emmenant dans le New York des années 1920, à la rencontre du magizoologiste Newt Scamander et de sa valise remplie de créatures. Deuxième volet d’une saga qui devrait compter cinq films, The Crimes of Grindelwald continue sur cette lancée en reprenant là où le premier s’était arrêté. Le méchant sorcier Grindelwald est désormais sous les barreaux (mais pas pour très longtemps…) tandis que Newt est de retour à Londres où il est convoqué par le Ministère de la Magie. Cet opus est aussi l’occasion de faire directement le lien avec les autres films puisqu’on y fait la rencontre d’un certain Albus Dumbledore. Que vaut donc cette suite ? La réponse ci-dessous dans une critique garantie sans aucun spoiler.

Fantastic Beasts and Where to Find Them

2011 semblait sonner le glas de l’univers Harry Potter sur grand écran mais c’était sans compter sur l’imagination débordante de J.K. Rowling. L’auteure – et pour la première fois scénariste – nous propose ainsi de retourner dans son monde magique pour y découvrir de nouvelles histoires. Exit Poudlard et l’Angleterre, bonjour le New York des années 1920 ! Le film, qui se déroule donc des années avant la naissance d’Harry Potter, nous présente Newt Scamander (ou Norbert Dragonneau si vous osez aller voir le film en VF…), un sorcier qui étudie les créatures fantastiques. Il débarque à New York où il pense faire un court séjour mais une série d’événements inattendus vont prolonger son voyage…

Bien qu’étant une grande adepte d’Harry Potter, je dois avouer que je n’attendais pas grand-chose de ce film mais j’ai été très agréablement surprise.